Après plus de deux ans de conflit entre la Réserve des Gorilles de Tayna (RGT) et l’ONG Hydrolyque Sans Frontières (HYFRO) autour de la gestion de la Reserve Naturelle de Tayna, la coordination rassure la population sur la bonne marche des activités de conservation communautaire et de développement sur terrain.
Cette révélation est de Jackson Kalungero coordonnateur de la RGT lors d’un entretien avec notre rédaction ce jeudi 19 janvier 2022.
Selon lui, c’est l’avocat conseil de la RGT qui l’a confirmé à la population lors de la tenue de son l’assemblée générale le 14 janvier dernier tout en rassurant à la bonne continuité des activités de conservation communautaire dans les zones de couverture.
Alors que la gestion de la RNT était confiée à la RGT depuis des longues dates, ses animateurs avaient été surpris d’un autre contrat de superposition qui liait l’ICCN à l’ONG HYFRO pour la cogestion de cette aire protégée.
Par ailleurs, la RGT et l’ICCN ont signé un contrat de collaboration à durée indéterminée en 2006 avec la RGT qui à son article stipule 8 que le contrat ne peut être résilier sur l’initiative de la RGT.
Au cours des assises ce contrat a servi d’un outil tribunal entre les deux parties. Des résultats sur terrain ont prouvé également que l’ONG Hyfro n’a aucune expérience en conservation communautaire, car n’ayant pas des terres communautaires en territoire de Lubero et sans appui des chefs terriens.
Signalons que cette structure engagée dans la protection de l’écosystème heberge à son sein des Gorilles de Plaine de l’Est et des Chimpanzés ainsi que d’autres espèces sous protection de la loi congolaise.
Pour rappel, au cours de l’année 2022 des assises ont été organisées pour mettre les parties prenantes devant leurs responsabilités malgré la médiation de l’institut Congolais pour la Conservation de la Nature avait été mise en épreuve à trois reprises par l’ONG HYFRO.
La rédaction
priligy review In response to the increasing incidence of bacterial resistance to tetracyclines, a research program was initiated at Lederle Laboratories in the 1990s to seek new third generation tetracyclines that would circumvent existing mechanisms of resistance