Tanzanie, un pays plus écologique ? (Gedeon KATEMBO)

Le réel souci de protéger l’environnement se vit dans différentes villes de la Tanzanie. Plusieurs anciennes essences arboricoles y sont observables dans des grans centres urbains.

Gédéon MUHINDO KATEMBO, journaliste environnementaliste de formation nous fait ses observations dans cette République;  habitant de Goma au Nord Kivu en RDC, lors de son séjour de trois semaines effectué dans plusieurs villes de la République unie de Tanzanie, il tire une observation particulière par comparaison des certaines villes congolaises.

A Dar Es Salam, Arusha, MOSHI, Mbeya et dans d’autres agglomérations où il est  passé avant de prendre part à une conférence sur le kiswahili, il observe plusieurs especes végétales tres bien protégées, est ce par pression du gouvernement ou simple détermination de la communauté ?

“Dès l’entrée dans ce pays à partir de l’aéroport international de Dar Es Salam jusque dans les Cités en passant par  les routes nationales, j’ai compris que le pays de Samia Suluhu HASSAN est dans la bonne direction pour la conservation de la nature en prêchant par des actions; la plantation des arbres, explique Gedeon à la rédaction de Kanzu Group.com

Cet observateurs précise que cela se justifie par le fait que presque dans chaque parcelle ou concession on y trouve au moins un arbre et des fleurs bien entretenu

“Peut-être les Tanzaniens sont bien outillés en la matière, peut etre une obligation , peut-être simple hornement parcellaire,… A Dar Es Salam, par exemple, les maisons sont construites sous les arbres, Quand je me suis rendu dans la ville d’Arusha et MOSHI, j’ ai maintes fois souligné que c’est normal ces villes soient une bonne atmosphère. Les arbres longent les routes, les populations ne les coupent presque de manière désordonnée, car peu sont les souches qui sont visibles aux bords de ces routes aussi bien asphaltées. Je crois que c’est un courage environnemental à imiter si on veut avoir des villes qui contribuent favorablement à l’action climatique positive”, précise Gédéon MUHINDO.

Il note que parmi ces espèces végétales figurent en pourcentage élevé des fruitiers.

“J’ai maintenant de l’intérêt à pouvoir revenir à Tanzanie pour le tourisme afin de palper du doigt les endroits quand l’opportunité se présentera. Je parle ici par exemple de la haute montagne de Kilimajaro, les plages et les Parcs nationaux”, croit-il,

Conseillant aux autorités africaines et organisations de la société civile de regarder plus loin pour habiller les grandes villes l’image 100% environnementale et touristique ce observateur pense qu’Il est toujours possible que les villes du continent africain soient attirantes, et où le tourisme se mérite.

Rappelons que Gédéon KATEMBO a eu cet oeil critique de part ses notions environnementales reçu dans don université.

Je suis un ancien étudiant à  l’Université de conservation de la Nature et de Développement de Kasugho, UCNDK, voilà grâce à la formation reçu dans cette université prestigieuse de la conservation, je realise que la Tanzanie semble etre sur la bonne voie dans la conservation mais aussi le tourisme, conclus Gédéon KATEMBO

La Rédaction