Malgré l’interdiction aux habitants de construire sur la lave volcanique dans le village de Vuhene en groupement Munigi par le gouvernement congolais suite à la traversée du volcan dans cette entité et aux risques liés à lave. Les habitants peinent de leur propre fonds à se bâtir des maisons.mais planter un arbre dans leurs parcelles est restée une théorie. Aucun plan de reboisement n’a été présenté aux populations sinistrées pour s’en servir.cela après deux ans et plus de l’apparition de cette catastrophe naturelle en territoire de Nyiragongo au Nord-Kivu.
Selon Rochereau Kighoma Secrétaire exécutif du Programme d’Appui pour la Réinsertion des Sinistrés (PARIS ) les organisations environnementales devront se déployer dans la zone pour renforcer les notions environnementales chez les habitants.
“Les organisations environnementales n’ont pas été à mesure d’initier des petits projets de reboisement. Elles peuvent venir nous demander si on en a.Au niveau local nous sommes disposés à lutter contre le changement climatique” dit-il.
Après la coulée de la lave, les habitants n’avaient pas le droit de pénétrer et de construire dans la zone pendant que l’observatoire Volcanologique de Goma effectuaient des vérifications.Mais un grand nombre de personnes n’avaient plus des maisons et la plupart étaient herbergées dans les sites des sinistrés ou en famille soit dans les écoles.suite à leurs conditions de vie, ils n’avaient autre choix que de bâtir dans des lieux non encore autorisés à la construction.
Rochereau Kighoma pense qu’il faut élaborer un programme spécial pour reboiser la partie en pleine construction, dans le souvi d’amener les populations sinistrées à se liguer dernière les exigences environnementales.
“On ne doit pas mener des activités dans un lieu par ce qu’on y a un intérêt égoïste.planter un arbre dans un lieu comme celui-ci c’est sauver des vies. Maintenant la population respire une mauvaise aire” peut-on retenir de l’entretien.
Cette structure appelle à un investissement environnemental dans le but de redonner la bonne image à cette entité et faire asseoir les sensibilisations autour de l’importance de l’arbre dans une parcelle.
La rédaction
