Le manque du contrôle des documents et l’absence de l’autorisation des cadres de base a y travailler restent parmi les principales cause des conflits parcellaires.
L’absence de l’autorité locale dans cette partie dévastée par la lave mais aussi la perte des documents parcellaires restent la cause des plusieurs conflits. Depuis que la population a commencer la reconstruction dans cette partie, nous ne sommes pas encore autorisée a faire un quelconque contrôle, ce qui fait que certaines personnes se donnent le courage de délimiter leur parcelles comme bon leur sable, explique le secrétaire Administratif Janvier BURAZIZE, lors de la présentation du rapport annuel aux cadres de base du village Ngangi.
Notons que plusieurs personnes auraient perdus leurs documents précieux y compris ceux parcellaires dans cette éruption, ce qui donne droit a certaines autres de profiter de cette situation pour élargir leurs parcelles au-delà des limites d’avant éruption et d’autres de vendre même des espaces qui n’étaient pas les leurs.
Les cadres de base réunis pour clôturer l’année ce lundi 19 Décembre sollicitent la lever pure et simple de cette interdiction aux cadres de base de prester dans la partie victime de l’éruption pour ainsi tenter de réduire les conflits parcellaires.
La rédaction